L’Hôtel Parisien 2

Comme je vous le racontais dans l'histoire précédente, j'ai prêté ma copine au réceptionniste de l'hôtel dans lequel nous séjournions.
Très excité au réveil, avec une trique d'enfer, nous nous sommes pris dans les bras puis j'ai mis Léa sur le dos et je l'ai pénétrée d'un seul coup sans autre forme de procès. Je ne sais pas si elle était aussi excitée que moi en pensant aux galipettes de la veille mais sa chatte était complètement humide, était-ce de la mouille ou bien les restes de mon sperme du soir ? Quelques instants suffirent à lui remettre plusieurs giclées de sperme chaud au fond du vagin.
Nous sommes descendus au petit déjeuner et nous avons croisé le réceptionniste qui a regardé avec insistance ma femme. C'était une belle journée et Léa portait un débardeur et une jupe descendant un peu sous les cuisses avec de la tulle blanche, pas de collants, et une paire de ballerines. J'adore ses mollets assez fins et ses belles cuisses. La jupe soulignait ses belles fesses juste comme il faut et la partie haute sa lordose lombaire assez profonde. Pour l'avoir vue s'habiller je savais qu'elle portait un tanga façon dentelle verte, on pouvait d'ailleurs le deviner discrètement à travers la jupe. Pour sa part elle l'ignorait royalement.
Il était en discussion avec l'homme qui s'occupait du petit déjeuner, un maghrébin d'environ 1m80 plutôt bien fait, la quarantaine. Etant donné le regard qu'il portait sur ma femme pendant qu'elle se servait au buffet, je compris assez vite qu'il lui avait tout raconté un peu avant son arrivée. Pour ma part je m'étais déjà servi et j'attendais à table. Malgré le monde il s'approcha d'elle et entama la conversation, je n'entendais pas ce qui se disait car j'étais trop loin. Il se tenait assez proche et lui touchait la taille d'une main ferme, et il me sembla même qu'il se colla à elle plusieurs fois.
Elle revint assez vite à table et assez gênée elle me raconta qu'il lui avait dit qu'il savait tout et qu'il aurait aimé avoir la chance de profiter d'elle comme son collègue.


Il lui a proposé rapidement de se retrouver dans l'arrière de l'hôtel pour profiter de son matériel ou bien dans notre chambre après le service. Comme nous sommes descendus assez tard le buffet allait bientôt fermer et il ne restait pas grande monde. Il lui avait proposé de retirer ses sous-vêtements et de lui remettre discrètement en quittant la salle en guise de feu vert, sorte de langage codé somme toute assez explicite.
Je lui demandais ce qu'elle en pensait et elle me dit qu'elle avait encore la chatte irritée après les multiples ébats et qu'elle n'était pas trop partante pour une nouvelle pénétration si rapprochée.
Sans trop y croire je lui proposais de juste le sucer s'il lui plaisait. Elle le regarda plusieurs fois, il lui fit un clin d'œil, je crois qu'il bandait. Elle me regarda en souriant et je la vis mettre les deux mains sous la table pour retirer son tanga qu'elle me tendit sous la table n'ayant pas de poche. Je le mis dans la mienne et elle me dit "c'est toi qui vas lui donner".
Inutile de vous dire que mon pantalon me serrait affreusement la queue, j'ai regretté d'avoir mis un jean ce jour-là.
Une fois fini nous nous sommes levés pour quitter la salle mais ma femme se dirigea vers la porte pour aller vers la salle attenante à la salle du petit déjeuner. Il n'y avait plus personne mais le buffet était encore mis.
Je vis le gars arborer un rictus satisfait et je m'approchais avec le tanga en main et le lui remis. Il me dit en souriant "merci tu vas adorer, elle est magnifique". Je souris à mon tour et lui répondit "merci, elle ne souhaite par contre pas de pénétration aujourd’hui ".
Il ne se fit pas prier pour entrer lui aussi dans la petite pièce. Elle s'était assise sur une petite table, ses belles jambes lisses croisées.
La situation était un peu étrange, il se présenta, Ali, 45 ans. Il crut bon de préciser qu'il était marié.
Léa sourit et il s'approcha puis l'embrassa en lui caressant les jambes à deux mains, il avait l'air d'adorer lui caresser les cuisses car il y passa un long moment, ou alors était-ce ce baiser qui s'éternisait.

Elle essayait tant bien que mal de lui malaxer la queue par-dessus le pantalon.
Il lui écarta ensuite les jambes en grand pour exposa sa jolie chatte sans culotte et remonta un peu la jupe. Les grandes lèvres étaient boursoufflées, rouges, et les petites lèvres bien ouvertes, on voyait sans problème son orifice qui formait un ovale parfait. L'humidité était également bien visible, avec une petite coulée qui faisait briller la peau entre sa grotte d'amour et son petit trou. Le clitoris me semblait également bien gonflé. Visiblement elle ne se forçait pas beaucoup !
Toujours sur la table, il lui enleva délicatement ses ballerines et se mis à lui lécher les pieds puis à lui sucer les orteils, il remontant ensuite délicatement vers son entre jambes en lui léchant l'intérieur des cuisses et en lui faisant des bisous. Elle me semblait folle de désir car elle renversait sa tête en arrière et sa chatte s'était réellement mise à couler.
Il alla coller son visage contre son entre jambe et se mit à la lécher vigoureusement, je le voyais bouger la tête dans tous les sens comme un nouveau-né qui cherche le sein.
Elle lui avait pris la tête à deux mains et lui caressait les cheveux puis elle se coucha à plat dos sur la table, les jambes en l’air comme en suspension pour mieux profiter de l'instant. Je l'entendais respirer de plus en plus fort puis soudainement ses jambes se sont mises à trembler de façon irrégulière signe qu'elle partait dans un orgasme complètement incontrôlé qui dura une bonne dizaine de secondes.
Une fois le calme revenu Ali se recula, le bas du visage complètement humide avec quelques traces blanches plus épaisses. Je me demandais s'il avait senti mon foutre ou si elle mouillait tellement que le goût était trop discret pour être perçu.
Léa se redressa, les joues en feu avec quelques gouttes de sueur sur le front. Elle descendit de la table et remis sa jupe en place. Ali descendit rapidement et complètement son pantalon et son boxer jusqu'aux chevilles, bloqués par les chaussures et s'assit à son tour sur la table en écartant un peu les jambes.

Il avait une bite magnifique de 17 ou 18 cm, qui partait un peu sur le côté gauche. De grosses veines dilatées courraient le long de la tige témoignant de son excitation, cheminant jusqu'à un beau gland foncé circoncis. Il avait deux grosses couilles très peu pendantes, le scrotum était contracté par l'excitation. On dirait qu'il était déjà prêt à décharger son foutre.
J'avais expliqué dans mes précédents récits que Léa me suçait très rarement, elle n'aimait pas beaucoup ça mais l'excitation et l'orgasme que lui avait donné Ali méritaient bien de lui rendre la pareille.
Elle se baissa légèrement pour être à la bonne hauteur puis elle commença par appliquer la langue sur la base de sa queue et se mit à remonter doucement pour humidifier le chibre, puis arrivée à la base du gland elle repartit vers le bas et ceci plusieurs fois. J'avais l'impression que la bite d'Ali avait gagné un ou deux centimètres depuis le début de la pipe, ou bien c'était parce que Léa lui tenait la base de la bite d'une main pour la garder bien droite.
Ma bite me faisait affreusement mal dans mon pantalon mais je n'osais pas la sortir car j'étais resté à l'entrée de la pièce et on pouvait encore me voir à moitié depuis la salle de petit déjeuner.
Après plusieurs aller retours, elle prit son gland à pleine bouche, juste le gland et se mit à le sucer comme une friandise en creusant les joues à chaque fois. J'imaginais sa langue participer à la fête et ça me rendait fou d'excitation. Ali avait fermé les yeux et il se laissait faire, visiblement satisfait du plaisir qu'elle lui apportait. Après une ou deux minutes de ce traitement, elle l'enfourna plus profond et fit des va et viens avec sa bouche bien ouverte sur la bite, toujours en tenant fermement la base de sa queue, comme pour faire garrot.
Elle lui malaxait initialement les bourses dans un mouvement régulier et un peu le périnée, on aurait dit une experte de la pipe, je n'en revenais pas. C'était vraiment très excitant.

Elle délaissa les couilles de la main gauche pour la glisser sous sa jupe pour se caresser, chose que je ne la voyais jamais faire. Je ne voyais d'ailleurs rien d'autre que la jupe qui bougeait légèrement sous l'action de ses caresses et de ses hanches qui se mirent rapidement à onduler en rythme avec la fellation. Je me demandais si elle se caressait juste ou bien si elle se mettait des doigts.
Le réceptionniste surgit derrière moi, et parut peu surpris du spectacle. Il me dit juste "ta femme est une sacrée salope" et il s'avança par derrière.
Il lui leva la jupe et le spectacle magnifique apparut, Léa avait deux doigts dans la chatte, complètement mouillés de cyprine et elle se pénétrait d'avant en arrière en se caressant le bouton avec le pouce. Elle était bien ouverte. Elle n'eut pas l'air spécialement surprise de la présence du réceptionniste, sans doute l'attendait-elle ou peut-être même l'espérait-elle.
Il regarda un instant la scène puis sorti sa queue de son pantalon sans que l'on puisse voir les bourses. Il y avait ce gros gland que je vous ai décrit dans l'histoire précédente, il se le caressait avec le pouce et l'index assez rapidement en regardant Léa continuer ses mouvements. Il voulut lui caresser l'anus mais elle le repoussa d'une main et s'introduit à nouveau deux doigts dans la chatte.
Ali grognait de plaisir, ça durait depuis un bon quart d'heure et il n'avait pas l'air d'être au bord pourtant j'aurais juré l'inverse au départ.
Soudain, il prit Léa par les cheveux et lui appuya sur la tête pour qu'elle lui lèche les couilles, elle avait le visage plaqué contre et elle essayait de s'activer comme elle pouvait, gobant alternativement une boule puis l'autre. Elle continuait de le branler de haut en bas avec une main. Cela avait eu pour effet de la faire se cambrer et on voyait sa superbe moule, ses doigts et son petit trou.
Le réceptionniste lui enleva la main et se mis à la doigter avec le majeur assez rapidement, il avait de gros doigts, son majeur valait bien deux doigts de Léa. Il se branlait frénétiquement et ne tarda pas à cracher son sperme par terre, il y en avait une belle quantité et elle en reçut un peu sur l'arrière des cuisses.
Pendant ce temps, Ali avait continué d'appuyer sur la tête de Léa et je crois qu'elle était en train de lui lécher l'anus, chose que je ne l'aurais pas crue capable de faire. Elle m'a confirmé plus tard n'avoir pas vraiment eu le choix et trouvé cette posture de soumission excitante.
Ali relâcha la pression et se mis debout, il fit de mettre Léa à genoux et lui dit de continuer de lui lécher les couilles.
Il se branlait frénétiquement dans un mouvement de va et vient tout en faisant des rotations avec sa main. Quelques instants plus tard, alors que Léa avait toujours une couille en bouche, il lâcha tout son sperme qui partit à grosses giclées par-dessus sa tête, mais elle en reçu un peu sur les cheveux et le dos.
Tout ce petit monde se rhabilla, Léa s'essuya comme elle put et nous sommes remontés dans la chambre pour une bonne douche.
Ali lui demanda en partant s'il lui ferait le privilège d'essayer sa petite chatte, elle resta évasive et nous sommes remontés.
Arrivés dans la chambre, je la plaquais au mur pour l'embrasser et elle me fit lécher sa main et ses doigts encore luisants de mouille, puis elle alla prendre une douche.
Je n'ai pas joui ce jour là.

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